Samedi 7 novembre 6 07 /11 /Nov 16:20

[Début feuilleton] [Épisode précédent]

 

…/…

 

Ma femme était donc là, en face de moi, retenue sur sa chaise au milieu de la cuisine, les cuisses bien ouvertes, les mains liées dans le dos par un torchon. Je m'approchais d'elle lentement, un petit sourire au coin des lèvres, qui sembla lui plaire. Sans lui défaire ses liens, je me mis à la doigter doucement. Elle était trempée, et ses cuisses s'écartèrent encore, presque en grand écart. Elle réagit à mes caresses avec une sensibilité extraordinaire, sursautant lorsque je passai sur son clitoris, comme si son corps n'avait attendu que trop longtemps ces caresses-là.

 

Alors que je m'apprêtais à défaire les liens qui retenaient ses poignets, je découvris non sans étonnement que le torchon s'était détendu, qu'il était tombé par terre, sur le carrelage, et que les mains de Nicole étaient simplement croisées dans son dos, de son plein gré. Elle eut un petit rire sous son bâillon, que je m'empressais de retirer.

 

– Tu as bien joui, mon petit chéri ? Cette petite salope t'a plu ?

 

J'aurais aimé lui dire à quel point ça m'avait plu, oui, mais j'eus peur de la blesser, aussi hésitai-je.

 

– N'aies pas honte, elle me plait aussi beaucoup, tu sais… Et elle m'a fait beaucoup jouir aussi… Même en salle des profs…

 

J'avais oublié en effet qu'avant d'être une de mes rencontres — et cela restait à éclaircir —, Laura était d'abord la maitresse de ma femme, qu'elle avait soumise, sans que je ne m'en doute une seule seconde. Cela m'intriguait au plus haut point.

 

Mais pour l'heure, j'avais une furieuse envie de prendre ma femme, là, tout de suite, sur la table de la cuisine, par le même trou que celui de Laura. Sans ménagement, je la relevais donc, et la poussai à plat ventre contre le bois de la table. Elle sembla apprécier cette brutalité rare, car je suis d'un naturel plutôt doux.

 

– Hum, je vois que ça t'a mis en appétit, mon petit cochon…

 

– Tais-toi ! lui ordonnai-je en lui appliquant la main à plat sur le coccyx, pour l'empêcher de remuer.

 

Et je vins prendre mon sexe de l'autre main, et sans autre forme de préparation, je l'enfonçai dans l'anus de ma femme.

 

Elle poussa d'abord une soupir douloureux, fit la grimace, puis, à mesure que j'allais et venais, rapidement, en mouillant abondamment, ses gémissements se métamorphosèrent en gémissements de jouissance.

 

– Comment elle s'y est pris pour te dresser, cette petite salope ? lui demandai-je, autoritaire.

 

Entre deux han-hanements, deux soubresauts, Nicole me raconta comment Laura avait mis au jour son inclination à être dominée, en plein lycée, alors qu'elle lui avait demandé de rester pour parler un peu de ses résultats en baisse.

 

Après avoir essuyé les premières remontrances, Laura avait aussitôt pris l'ascendant, en affirmant à Nicole qu'elle aurait bien besoin d'être corrigée, pour oser parler comme cela à ses élèves. Quand elle vit que sa prof ne réagissait pas, ou pas dans le mauvais sens, Laura décida de passer aussitôt à la phase suivante. Elle monta sur l'estrade et s'approcha donc de sa prof, qui restait figée. Elle la repoussa contre le bureau, descendit sa braguette de pantalon et lui glissa la main directement à l'intérieur de sa petite culotte. Nicole lui attrapa le poignet, mais un « lâche-ça tout de suite » autoritaire de Laura la fit renoncer à interrompre son élève.

 

Laura commença à la masturber, à la doigter, en ricanant, en lui lâchant des « tu aimes ça, hein, vieille salope… » et elle lui ordonna de lui présenter ses excuses. Nicole, se sentant défaillir, s'exécuta tandis que sa jeune élève, de ses deux doigts, la mettait au supplice. Experte dans ses doigtés, Laura fit jouir sa prof en quelques minutes à peine, la laissant vannée, appuyée contre son bureau.

 

Laura avait lâché un petit ricanement ironique et l'avait mis en garde : si elle ne se montre pas plus docile à partir d'aujourd'hui, elle aurait vraiment à faire à elle.

 

Pendant les mois qui s'étaient écoulés ensuite, Laura n'avait eu de cesse de mieux la dresser, lui ordonnant d'aller se masturber dans les toilettes du lycée quand bon lui semblait, ou dans la salle des profs, ou lors d'une interrogation écrite, lui demanda de lui donner sa petite culotte en guise de punition, l'obligeant à se promener pendant toute une journée de cours avec un gode dans le vagin et bien d'autres humiliations que Nicole promit de me raconter plus tard…

 

J'étais sidéré par ce que j'entendais, me demandant comment j'avais fait pour ne m'apercevoir de rien. Quand je demandais à Nicole si elle appréciait cette domination de son élève, elle m'avoua que oui, qu'elle adorait même, et qu'elle rêvait parfois que sa jeune maitresse profitât encore plus d'elle, elle rêvait de se trouver encore plus humiliée… même si elle avait terriblement honte de l'avouer.

 

– Ça te ferait vraiment plaisir ? lui demandai-je, sourire en coin.

 

– Oh oui… avoua-t-elle à demi-mot.

 

Ses désirs avaient toujours été pour moi des ordres. Je me promis de contacter Laura dès le lendemain. Une chance qu'elle m'ait laissé son numéro… Mais pour l'heure, j'étais tellement excité que j'avais déjà bien joui entre les fesses de Nicole.

 

Épuisés par cette nuit singulière, nous nous endormîmes rapidement, dans les bras l'un de l'autre, comme deux jeunes amoureux.

 

À suivre…

Par Authentique libertin - Publié dans : Feuilletons érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Recherche

Derniers Commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés