Mardi 10 novembre 2 10 /11 /Nov 16:41
On ne connaitra jamais son dernier fantasme. On l'a retrouvé allongé sur le ventre, au 3e étage gauche du 30 bis de la rue Lécoufier.
Il avait dû faire son arrêt cardiaque juste après avoir joui. Il avait glissé un oreiller sous lui, comme une gonzesse, avait glissé la main sous l'oreiller et s'était frotté de tout son poids.
Sa femme l'avait retrouvé comme ça, elle avait poussé un cri en le trouvant si froid. Elle l'avait retourné, comme par réflexe, sa bite était encore dure, et elle bavait.
Comme chaque matin, elle s'était levée avant lui avait-elle expliqué aux flics, pour préparer le petit déjeuner. Lui, il devait s'en payer une bonne tranche pendant ce temps-là. Est-ce qu'il faisait ça tous les matins ? Elle n'en savait rien. Mais cette fois, il était allé trop loin.
Une belle mort quand même. Son dernier fantasme, qu'est-ce que ça pouvait bien être ? Sodomiser une bonne sœur dans un prêtoir ? Se faire sucer dans l'ascenseur par la fille trop sexy de la voisine ? Voir sa femme se faire défoncer le cul par un car de CRS, et en redemander ? Retourner une fermière dans le foin ?
Ou peut-être qu'il se masturbait sans rien imaginer du tout, juste pour se donner du bon temps. Ça, malheureusement, personne ne le saura jamais.
Par Authentique libertin - Publié dans : Faux-témoignages
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Mardi 10 novembre 2 10 /11 /Nov 16:06
J'adore quand ma femme me masturbe au matin, lorsque pas encore tout à fait réveillé, les rêves érotiques de la nuit m'imprègnent encore l'esprit. Elle enroule ma bite dans le drap comme un préservatif de tissu et commence ses mouvements de haut en bas, en me serrant bien dans les plis qui se forment et se déforment. Parfois, elle le fait en lisant son journal, je m'en remets entièrement à elle.
Quelquefois, c'est moi qui lui demande de me le faire, surtout lorsque la veille elle a changé le lit. Elle me fait alors éjaculer dans des draps tout propres et doux que je souille avec délectation. Elle râle un peu, de devoir les changer à nouveau, mais au fond, cela l'excite aussi de faire sa mauvaise fille.
Mes matins préférés, ce sont les matins où elle n'a vraiment pas envie, où elle préférerait se lever pour profiter tout de suite de sa journée. Alors elle commence toujours de mauvaise grâce, en m'astiquant comme s'il s'agissait d'une corvée, en soupirant, puis elle finit par se prendre peu à peu au jeu, et je sens le désir monter en elle alors que mon membre durcit dans sa main, et elle en arrive à avoir envie qu'il remplisse sa bouche, ou le sentir entre ses reins, ou entre ses seins, seins que je finis toujours par maculer de mon sperme chaud du matin.
Par Authentique libertin - Publié dans : Épisodes de vie
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Dimanche 8 novembre 7 08 /11 /Nov 22:22
La vie est pleine d'imprévus, et tout se passe pourtant comme si c'était écrit.
L'inspiration, qu'on prenait juste pour une inspiration, n'est souvent qu'un sourd présage. On ne le comprend qu'après, tout comme notre vie.
Et les rencontres du net, pas toujours bien nettes, n'en sont que plus extraordinaires.
Qu'elles étaient tristes nos vies, dans nos petits villages, entre la boulangère, la fille de l'épicier et la chaude femme du facteur.
Il est si facile aujourd'hui de jouir. De jouir de tout.
Par Authentique libertin - Publié dans : Peau-aime
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Dimanche 8 novembre 7 08 /11 /Nov 21:56

[Début du feuilleton] [Épisode précédent]

 

…/…

 

– Bonjour Laura, c'est Benoit. Rappelez-moi dès que vous pourrez.

 

Quelques minutes après avoir raccroché, je reçus un texto.

 

Slt - suis en cours - me masturb en repensant a ta femme - te rappel pendant poz - lora

 

Il était dix heures moins vingt, sa pause devait être à dix heures. Mais elle ne rappela que beaucoup plus tard, à cinq heures et demi. Entre temps, je m'étais dit que tout cela était un peu excessif, je me demandais si je ne faisais pas une grosse bêtise. Mais quelque part, j'avais envie d'en savoir un peu plus sur cette intrigante jeune fille et puis, surtout, je voulais mieux connaitre ma femme et savoir jusqu'où elle était capable d'aller.

 

Jusque-là, nous n'avions eu que des jeux assez inoffensifs au fond, quelques entorses au contrat de mariage, acceptées et même encouragées d'un côté comme de l'autre, que nous prenions grand plaisir à nous raconter, le week-end venu, pour libérer le stress de la dure semaine.

 

Mais j'avais l'impression qu'aujourd'hui Nicole attendait plus de la vie et de sa vie sexuelle. Elle était à l'âge où les effets de l'éducation s'étiolent, où la bonne morale prend un gout d'artifice face au temps qui file, et où tous les désirs enfouis, refoulés à coups de bons principes, refont surface malgré soi, au grand jour.

 

– <i>Bonjour, c'est Laura. Viens me chercher au lycée.</i>

 

–D'accord, mais —

 

Elle avait déjà raccroché.

 

Lorsque j'arrivais devant le lycée, un frisson me traversa. Et si l'on me reconnaissait. Et si Nicole m'apercevait. Mais je me rassurai en calculant que les chances étaient infimes, qu'elle ne travaillait peut-être pas aujourd'hui dans ce lycée-là. Je me promis en tout cas de m'intéresser de plus près à ces horaires scolaires…

 

Je vis Laura quitter un groupe de jeunes filles de son âge, et elle monta dans le véhicule en lâchant un « Salut papa » avec un grand sourire narquois. Elle se mit à genoux sur le siège pour se débarrasser de ses affaires sur la banquette arrière. Elle avait vraiment un cul parfaitement dessiné, rebondi, et une descente de reins idéale.

 

– Qu'est-ce que tu mates ?

 

– Oh rien… je… Où va-t-on ?

 

– Tu as envie de me baiser dans ta voiture ou chez moi ? À moins que ta femme ne soit pas là et qu'on remette ça dans votre chambre ?

 

– Je ne sais pas, en fait. Je ne sais pas si elle est rentrée.

 

– Pas de problème.

 

À ma grande surprise, elle décrocha aussitôt son portable. Après quelques sonneries…

 

– Allô ? Nicole. C'est moi, je suis avec ton mari. Tu es où ?

 

J'hallucinais… Cette jeune femme ne manquait vraiment pas de toupet.

 

– Bien, alors tu t'arranges pour ne pas rentrer avant vingt-deux heures, on va baiser chez toi. Ou alors tu rentres avant, mais tu attends sur le paillasson… Oui c'est un ordre.

 

Et elle se tourna vers moi sans raccrocher.

 

– Tu as de la chance d'avoir une femme aussi docile, tu sais.

 

Non, je ne savais pas. Je le découvrais seulement, perplexe.

 

– Tu aimes mes seins ? demanda-t-elle à brule-pourpoint en affichant son décolleté devant moi.

 

– Hé bien… oui…

 

– Alors dis-lui.

 

J'étais un peu désarçonné, mais aussi terriblement excité par cette situation inattendue. Elle avança le téléphone vers moi.

 

– Dis-lui.

 

– J'aime tes seins.

 

– Tu aimes mon cul ?

 

– Oui…

 

– Dis-le mieux que ça, fit-elle, autoritaire.

 

– J'aime ton cul. Ton petit cul de jeune fille.

 

– Tu aimerais le baiser, là, tout de suite, mon petit cul de jeune fille ?

 

– Oui… avouai-je au téléphone tendu vers moi.

 

– Mieux que ça !

 

– J'aimerais baiser ton petit cul, et ta petite chatte aussi, tout de suite, dans ma voiture.

 

– Oh je vois ça, fit-elle, assez fort pour être entendue, en me glissant la main entre les cuisses. Tu es dur comme le marbre, mon cochon. Est-ce que tu bandes comme ça quand Nicole te présente le sien, de cul ?

 

Et elle retira le téléphone avant que je puisse répondre.

 

– Ça t'excite, hein, petite salope ? lança-t-elle au combiné. Alors tu vas te branler en imaginant ce que ton petit chéri peut faire à ma petite chatte toute humide. Je te raconterais tout demain, après le cours.

 

Et elle raccrocha en riant sensuellement.

 

– J'ai des projets pour elle, ajouta-t-elle. Nous allons finir de la dresser, je veux en faire la petite catin qu'elle a toujours rêvé d'être. Elle va devenir ta chose, promis.

 

J'étais trop excité pour réaliser les implications des projets de Laura. Je ne pensai qu'à une chose : regagner au plus vite notre appartement. Et tant pis pour la suite…

 

À suivre…

Par Authentique libertin - Publié dans : Feuilletons érotiques
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Samedi 7 novembre 6 07 /11 /Nov 16:58
Voilà enfin le week-end, il est peut-être temps de penser à une cupidonade, non ? Cette semaine, j'ai pensé au fait que nous devons obéissance à notre moitié. C'est vrai, et on l'oublie peut-être trop souvent, quand on n'en fait qu'à sa tête.


Alors allons-y pour une petite piqûre de rappel : pendant toute une journée, vous allez devoir obéir sans émettre la moindre réticence aux demandes de votre moitié.

Et comme un week-end est constitué de deux jours, hé bien il y aura un jour chacun pour être le chef.

Alors, bien évidemment, on pourrait penser à un jeu de soumission ou de SM, mais non, il ne s'agit pas ici d'humilier l'autre ou de lui demander de faire des choses incroyables. Non, restons à hauteur d'homme, et contentons-nous d'éprouver son autorité en douceur.
Ça peut être des choses très simples, comme le fait de lui imposer de s'assoir sur un fauteuil précis en allant rendre visite à vos parents, ou des choses plus compliquées, comme le fait de lui imposer de retirer son slip dans la demi-heure qui suit, il faut en tout cas que ça reste bon enfant.

N'hésitez pas, si vous en ressentez le besoin, de fixer les limites préalablement, pour éviter toute mauvaise surprise, et vous sentir tout à fait libre.

Bonne cupidonade !
Par Authentique libertin - Publié dans : Jeux d'adultes (Les Cupidonades)
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Samedi 7 novembre 6 07 /11 /Nov 16:42
Faut pas croire, mais à 87 ans, les choses ne sont pas si faciles. Moi aussi je rêve, dans la rue, en voyant toutes ces jeunes filles se promener, dans toute leur innocence, en riant, en batifolant, comme si la vie était éternelle. Jeunes filles de vingt ans, de trente ans, de quarante… avec leurs petits culs et leurs petits seins si délicats qu'on en mangerait, et pas que du bout des lèvres.
Oh, pour sûr, elles ne me remarquent même pas, qu'est-ce que je suis pour elles ? Un vieux tas de chair flétrie, passé de date, périmé, un vieux machin qui n'est plus bon qu'à passer à la poubelle.
Elles ont peut-être raison, n'empêche que moi, Jules, du haut de mes 87 ans, je pourrais leur a apprendre sur le sexe et peut-être bien sur elles-mêmes, par la même occasion. Parce que j'en ai connues, des filles, et de toutes les tailles, et de tous les âges, des petites chattes de toutes les couleurs, et à l'endroit et à l'envers, et dans le foin et sur le bitume, et même pendant la guerre, pendant les crises et les trente glorieuses.
Alors je vous en prie, jeunes filles de vingt, trente ou quarante ans, lorsque vous me croiserez dans la rue, n'ayez pas ce regard concupiscent, songez plutôt, oui songez plutôt à tous ces plaisirs que j'ai connus, et que j'ai donnés.
Par Authentique libertin - Publié dans : Faux-témoignages
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Samedi 7 novembre 6 07 /11 /Nov 16:20

[Début feuilleton] [Épisode précédent]

 

…/…

 

Ma femme était donc là, en face de moi, retenue sur sa chaise au milieu de la cuisine, les cuisses bien ouvertes, les mains liées dans le dos par un torchon. Je m'approchais d'elle lentement, un petit sourire au coin des lèvres, qui sembla lui plaire. Sans lui défaire ses liens, je me mis à la doigter doucement. Elle était trempée, et ses cuisses s'écartèrent encore, presque en grand écart. Elle réagit à mes caresses avec une sensibilité extraordinaire, sursautant lorsque je passai sur son clitoris, comme si son corps n'avait attendu que trop longtemps ces caresses-là.

 

Alors que je m'apprêtais à défaire les liens qui retenaient ses poignets, je découvris non sans étonnement que le torchon s'était détendu, qu'il était tombé par terre, sur le carrelage, et que les mains de Nicole étaient simplement croisées dans son dos, de son plein gré. Elle eut un petit rire sous son bâillon, que je m'empressais de retirer.

 

– Tu as bien joui, mon petit chéri ? Cette petite salope t'a plu ?

 

J'aurais aimé lui dire à quel point ça m'avait plu, oui, mais j'eus peur de la blesser, aussi hésitai-je.

 

– N'aies pas honte, elle me plait aussi beaucoup, tu sais… Et elle m'a fait beaucoup jouir aussi… Même en salle des profs…

 

J'avais oublié en effet qu'avant d'être une de mes rencontres — et cela restait à éclaircir —, Laura était d'abord la maitresse de ma femme, qu'elle avait soumise, sans que je ne m'en doute une seule seconde. Cela m'intriguait au plus haut point.

 

Mais pour l'heure, j'avais une furieuse envie de prendre ma femme, là, tout de suite, sur la table de la cuisine, par le même trou que celui de Laura. Sans ménagement, je la relevais donc, et la poussai à plat ventre contre le bois de la table. Elle sembla apprécier cette brutalité rare, car je suis d'un naturel plutôt doux.

 

– Hum, je vois que ça t'a mis en appétit, mon petit cochon…

 

– Tais-toi ! lui ordonnai-je en lui appliquant la main à plat sur le coccyx, pour l'empêcher de remuer.

 

Et je vins prendre mon sexe de l'autre main, et sans autre forme de préparation, je l'enfonçai dans l'anus de ma femme.

 

Elle poussa d'abord une soupir douloureux, fit la grimace, puis, à mesure que j'allais et venais, rapidement, en mouillant abondamment, ses gémissements se métamorphosèrent en gémissements de jouissance.

 

– Comment elle s'y est pris pour te dresser, cette petite salope ? lui demandai-je, autoritaire.

 

Entre deux han-hanements, deux soubresauts, Nicole me raconta comment Laura avait mis au jour son inclination à être dominée, en plein lycée, alors qu'elle lui avait demandé de rester pour parler un peu de ses résultats en baisse.

 

Après avoir essuyé les premières remontrances, Laura avait aussitôt pris l'ascendant, en affirmant à Nicole qu'elle aurait bien besoin d'être corrigée, pour oser parler comme cela à ses élèves. Quand elle vit que sa prof ne réagissait pas, ou pas dans le mauvais sens, Laura décida de passer aussitôt à la phase suivante. Elle monta sur l'estrade et s'approcha donc de sa prof, qui restait figée. Elle la repoussa contre le bureau, descendit sa braguette de pantalon et lui glissa la main directement à l'intérieur de sa petite culotte. Nicole lui attrapa le poignet, mais un « lâche-ça tout de suite » autoritaire de Laura la fit renoncer à interrompre son élève.

 

Laura commença à la masturber, à la doigter, en ricanant, en lui lâchant des « tu aimes ça, hein, vieille salope… » et elle lui ordonna de lui présenter ses excuses. Nicole, se sentant défaillir, s'exécuta tandis que sa jeune élève, de ses deux doigts, la mettait au supplice. Experte dans ses doigtés, Laura fit jouir sa prof en quelques minutes à peine, la laissant vannée, appuyée contre son bureau.

 

Laura avait lâché un petit ricanement ironique et l'avait mis en garde : si elle ne se montre pas plus docile à partir d'aujourd'hui, elle aurait vraiment à faire à elle.

 

Pendant les mois qui s'étaient écoulés ensuite, Laura n'avait eu de cesse de mieux la dresser, lui ordonnant d'aller se masturber dans les toilettes du lycée quand bon lui semblait, ou dans la salle des profs, ou lors d'une interrogation écrite, lui demanda de lui donner sa petite culotte en guise de punition, l'obligeant à se promener pendant toute une journée de cours avec un gode dans le vagin et bien d'autres humiliations que Nicole promit de me raconter plus tard…

 

J'étais sidéré par ce que j'entendais, me demandant comment j'avais fait pour ne m'apercevoir de rien. Quand je demandais à Nicole si elle appréciait cette domination de son élève, elle m'avoua que oui, qu'elle adorait même, et qu'elle rêvait parfois que sa jeune maitresse profitât encore plus d'elle, elle rêvait de se trouver encore plus humiliée… même si elle avait terriblement honte de l'avouer.

 

– Ça te ferait vraiment plaisir ? lui demandai-je, sourire en coin.

 

– Oh oui… avoua-t-elle à demi-mot.

 

Ses désirs avaient toujours été pour moi des ordres. Je me promis de contacter Laura dès le lendemain. Une chance qu'elle m'ait laissé son numéro… Mais pour l'heure, j'étais tellement excité que j'avais déjà bien joui entre les fesses de Nicole.

 

Épuisés par cette nuit singulière, nous nous endormîmes rapidement, dans les bras l'un de l'autre, comme deux jeunes amoureux.

 

À suivre…

Par Authentique libertin - Publié dans : Feuilletons érotiques
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Vendredi 6 novembre 5 06 /11 /Nov 16:19

…/…

Nous fîmes l'amour longtemps. « Faire l'amour » est sans doute un euphémisme, « baiser » conviendrait peut-être mieux, tant la chaleur du moment était torride. Rarement je m'étais senti aussi excité. Par le corps de Laura d'abord, un corps que je ne me lassais de trouver magnifique, idéal même à mes mains et à mes yeux, une poitrine à rendre dément l'homme le plus sage. Et je n'étais pas le plus sage des hommes…

Et puis, faut-il l'avouer, l'idée de savoir ma femme Nicole attachée dans la cuisine, dans la pénombre où nous l'avions laissée, l'idée de savoir qu'elle pouvait sans mal entendre nos ébats, achevait de me mettre dans un état d'excitation insoutenable. Et Laura en rajoutait, qui gémissait plus fort que le plaisir, j'en suis certain, que je lui prodiguais.

Au plus fou de l'étreinte, elle poussait un cri, hurlant presque, à chaque coup de rein que je frappais dans son dos contre ses fesses trempées, lui écrasant les tétons dans mes mains grandes ouvertes sur ses seins, que je pétrissais avec violence. Haletante, elle basculait la tête en arrière, pour venir gémir juste dans mon oreille, fort, ce qui achevait de me faire perdre la tête.

– Baise-moi dans ton lit conjugal, répétait-elle, baise-moi dans votre lit…

Quand un assaut l'avait assoiffée, elle m'entrainait à la cuisine en batifolant, complètement nue, et méprisant ostensiblement Nicole assise au beau milieu de la pièce, qu'elle feignait de ne pas avoir remarquée.

Une fois, la bière à la main, elle me demanda même de la prendre juste-là, dans la cuisine. Et elle s'allongea sur le ventre, sur le plan de travail, les cuisses écartées à quelques centimètres à peine et à hauteur du regard de Nicole.

– Par là… gémit-elle, en attrapant ses fesses de ses mains, les écartelant pour me présenter son charmant petit anus qui ressemblait à la plus troublante des fleurs.

Tout ce qu'elle disait me rendait aussi fou que le spectacle hallucinant qu'elle présentait. Cette fille était taillée pour l'amour, et j'avais l'impression de ne rien pouvoir lui refuser, le pouvoir de son corps était total. Et elle devait s'en douter, car elle en abusait sans la moindre vergogne.

– Mouille-toi bien, ajouta-t-elle, et viens te faire plaisir.

Je descendis le slip que j'avais pudiquement — et bêtement — enfilé pour l'accompagner à la cuisine. En croisant le regard de Nicole, je m'aperçus qu'elle était elle aussi dans un état d'excitation bien avancé. De la cyprine coulait même le long de sa cuisse puis de la chaise sur le carrelage de la cuisine, et son sexe, ouvert, à l'air libre, était luisant de désir.

–  Mouille-toi dans sa bouche ! ordonna Laura, impatiente.

Je m'exécutai aussitôt, présentant mon sexe dressé à ma femme, qui l'engloutit immédiatement comme si sa vie en dépendait. Elle me suça en gémissant. Je n'aurais jamais imaginé que ça pouvait lui procurer un tel plaisir. Et de toute évidence, elle ne simulait pas ses gémissements aigus.

– Ça suffit maintenant, lâcha Laura, plus autoritaire.

Je me dégageai alors de Nicole, et vint m'enfoncer dans le trou savamment préparé par Laura. C'était divin.

Régulièrement, Laura me demandait de retremper mon sexe dans la bouche de ma femme, et je m'exécutais docilement, n'ayant qu'à me reculer pour sortir de Laura et pivoter un peu pour pénétrer la bouche de ma femme. Chaque fois, Nicole tendait la langue vers mon sexe et l'avalait goulument comme une voyageuse après une traversée du désert se rue sur une fraiche oasis.

Entre les fesses de Laura, je ne mis pas longtemps à jouir, et mon plaisir fut décuplé d'entendre la jeune fille et ma femme gémir en même temps, fort, de connivence, comme si elles jouissaient elles aussi de me sentir m'abandonner.

– Elle va te nettoyer, et ensuite, vous pourrez retourner dans votre chambre. J'ai mieux à faire que de me m'occuper de vous deux !

Et elle m'attrapa le sexe, et le présenta à la bouche de Nicole, lui saisissant les cheveux sans ménagement, en l'obligeant à me laver consciencieusement de sa langue et de sa bouche. Pendant ce temps, Laura m'embrassait, tournant une langue experte profondément dans ma bouche. J'étais sidéré d'imaginer qu'on puisse n'avoir que dix-neuf ans et être déjà autant au fait et experte des choses du sexe. Il me tardait de découvrir le secret et l'origine d'un tel art mais pour l'heure, Laura ne s'attarda pas. Comme Cendrillon se sauvant du bal — mais il était passé minuit depuis longtemps, le petit jour se levait déjà —, la jeune fille fila se rhabiller dans la chambre et, après un vague « à bientôt, et profitez bien… », elle s'éclipsa de l'appartement.

Étrangement, je me sentais plus excité encore que si j'étais resté abstinent pendant des semaines. Et la vue de ma femme, là, toujours attachée sur sa chaise au milieu de la cuisine, gonflée de désir, implorant du regard les caresses, les cuisses grandes ouvertes, n'était pas pour ma calmer. J'en voulais encore… Et puisqu'elle semblait apprécier d'être docile, je comptais bien en profiter un peu…

[Lire la suite]
Par Authentique libertin - Publié dans : Feuilletons érotiques
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Vendredi 6 novembre 5 06 /11 /Nov 14:14
Je suis à la recherche constante de nouveaux modèles féminins (amateurs ou non) pour la réalisation des photos de ce blog. Osez franchir le pas ! [En savoir plus]
Par Authentique libertin
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Mercredi 4 novembre 3 04 /11 /Nov 17:08
Ma prose file sous ta chair dénudée. Beau tes seins, sexy dans ton short de jean. Je t'ai caressé pendant des heures. Encore ce soir. À t'en user l'épiderme. Je ne me lasse pas de ton corps.
Par Authentique libertin - Publié dans : Peau-aime
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