Vendredi 6 novembre 5 06 /11 /Nov 16:19

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Nous fîmes l'amour longtemps. « Faire l'amour » est sans doute un euphémisme, « baiser » conviendrait peut-être mieux, tant la chaleur du moment était torride. Rarement je m'étais senti aussi excité. Par le corps de Laura d'abord, un corps que je ne me lassais de trouver magnifique, idéal même à mes mains et à mes yeux, une poitrine à rendre dément l'homme le plus sage. Et je n'étais pas le plus sage des hommes…

Et puis, faut-il l'avouer, l'idée de savoir ma femme Nicole attachée dans la cuisine, dans la pénombre où nous l'avions laissée, l'idée de savoir qu'elle pouvait sans mal entendre nos ébats, achevait de me mettre dans un état d'excitation insoutenable. Et Laura en rajoutait, qui gémissait plus fort que le plaisir, j'en suis certain, que je lui prodiguais.

Au plus fou de l'étreinte, elle poussait un cri, hurlant presque, à chaque coup de rein que je frappais dans son dos contre ses fesses trempées, lui écrasant les tétons dans mes mains grandes ouvertes sur ses seins, que je pétrissais avec violence. Haletante, elle basculait la tête en arrière, pour venir gémir juste dans mon oreille, fort, ce qui achevait de me faire perdre la tête.

– Baise-moi dans ton lit conjugal, répétait-elle, baise-moi dans votre lit…

Quand un assaut l'avait assoiffée, elle m'entrainait à la cuisine en batifolant, complètement nue, et méprisant ostensiblement Nicole assise au beau milieu de la pièce, qu'elle feignait de ne pas avoir remarquée.

Une fois, la bière à la main, elle me demanda même de la prendre juste-là, dans la cuisine. Et elle s'allongea sur le ventre, sur le plan de travail, les cuisses écartées à quelques centimètres à peine et à hauteur du regard de Nicole.

– Par là… gémit-elle, en attrapant ses fesses de ses mains, les écartelant pour me présenter son charmant petit anus qui ressemblait à la plus troublante des fleurs.

Tout ce qu'elle disait me rendait aussi fou que le spectacle hallucinant qu'elle présentait. Cette fille était taillée pour l'amour, et j'avais l'impression de ne rien pouvoir lui refuser, le pouvoir de son corps était total. Et elle devait s'en douter, car elle en abusait sans la moindre vergogne.

– Mouille-toi bien, ajouta-t-elle, et viens te faire plaisir.

Je descendis le slip que j'avais pudiquement — et bêtement — enfilé pour l'accompagner à la cuisine. En croisant le regard de Nicole, je m'aperçus qu'elle était elle aussi dans un état d'excitation bien avancé. De la cyprine coulait même le long de sa cuisse puis de la chaise sur le carrelage de la cuisine, et son sexe, ouvert, à l'air libre, était luisant de désir.

–  Mouille-toi dans sa bouche ! ordonna Laura, impatiente.

Je m'exécutai aussitôt, présentant mon sexe dressé à ma femme, qui l'engloutit immédiatement comme si sa vie en dépendait. Elle me suça en gémissant. Je n'aurais jamais imaginé que ça pouvait lui procurer un tel plaisir. Et de toute évidence, elle ne simulait pas ses gémissements aigus.

– Ça suffit maintenant, lâcha Laura, plus autoritaire.

Je me dégageai alors de Nicole, et vint m'enfoncer dans le trou savamment préparé par Laura. C'était divin.

Régulièrement, Laura me demandait de retremper mon sexe dans la bouche de ma femme, et je m'exécutais docilement, n'ayant qu'à me reculer pour sortir de Laura et pivoter un peu pour pénétrer la bouche de ma femme. Chaque fois, Nicole tendait la langue vers mon sexe et l'avalait goulument comme une voyageuse après une traversée du désert se rue sur une fraiche oasis.

Entre les fesses de Laura, je ne mis pas longtemps à jouir, et mon plaisir fut décuplé d'entendre la jeune fille et ma femme gémir en même temps, fort, de connivence, comme si elles jouissaient elles aussi de me sentir m'abandonner.

– Elle va te nettoyer, et ensuite, vous pourrez retourner dans votre chambre. J'ai mieux à faire que de me m'occuper de vous deux !

Et elle m'attrapa le sexe, et le présenta à la bouche de Nicole, lui saisissant les cheveux sans ménagement, en l'obligeant à me laver consciencieusement de sa langue et de sa bouche. Pendant ce temps, Laura m'embrassait, tournant une langue experte profondément dans ma bouche. J'étais sidéré d'imaginer qu'on puisse n'avoir que dix-neuf ans et être déjà autant au fait et experte des choses du sexe. Il me tardait de découvrir le secret et l'origine d'un tel art mais pour l'heure, Laura ne s'attarda pas. Comme Cendrillon se sauvant du bal — mais il était passé minuit depuis longtemps, le petit jour se levait déjà —, la jeune fille fila se rhabiller dans la chambre et, après un vague « à bientôt, et profitez bien… », elle s'éclipsa de l'appartement.

Étrangement, je me sentais plus excité encore que si j'étais resté abstinent pendant des semaines. Et la vue de ma femme, là, toujours attachée sur sa chaise au milieu de la cuisine, gonflée de désir, implorant du regard les caresses, les cuisses grandes ouvertes, n'était pas pour ma calmer. J'en voulais encore… Et puisqu'elle semblait apprécier d'être docile, je comptais bien en profiter un peu…

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Par Authentique libertin - Publié dans : Feuilletons érotiques
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