Mercredi 4 novembre
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16:24
[Début du feuilleton] [Épisode précédent]
…/…
J'estimai que cela suffisait, que Laura était allée trop loin, qu'elle outrepassait les règles de la bienséance, toute excitante qu'elle puisse être. Mais lorsque j'interceptai le sourire que ma
femme échangea avec la jeune fille, un sourire malicieux et complice, je compris tout à coup qu'il s'agissait peut-être vraiment d'un jeu entre les deux femmes, un jeu parfaitement accepté d'un
côté comme de l'autre.
J'en eus confirmation lorsque Laura tira un peu brutalement la tête de ma femme en arrière en l'agrippant par les cheveux, et que Nicole se plaignit, doucement : « tu me fais mal, là ».
Laura, changeant alors brusquement d'habitude, s'excusa presque timidement, avant de reprendre sa pleine autorité. C'était touchant.
Nicole me confirma définitivement leur accord en tournant vers moi le visage, tout sourire. Cela ne pouvait avoir d'autre signification que « oui, mon chéri, c'est un jeu, viens vite jouer
avec nous. ».
Il s'agissait donc d'un jeu. Et ma femme était complice. Et ma femme se soumettait de son plein gré à l'autorité perverse d'une jeune fille de dix-neuf ans qui était de surcroit son élève dans la
vie.
Laura la fit alors assoir sur une chaise au milieu de la cuisine, sans ménagement.
– Attache cette petite trainée, m'ordonna-t-elle.
J'hésitai, mais un regard coquin lancé par ma femme me confirmait une nouvelle fois que je pouvais m'aventurer sur cette voie sans la trahir. J'attrapai donc un torchon et lui attachait les mains
derrière le dos, à un barreau de la chaise métallique. Cela eut pour effet de lui pousser le buste en avant, insolent. Laura en profita pour lui défaire trois boutons de chemisier, et fit sortir
cette poitrine gonflée, trop à l'étroit, dont les tétons pointaient fièrement.
– Regarde-moi ça ! Elle bande, ta petite salope.
Puis Laura s'approcha de moi, m'attrapa par la nuque comme elle l'avait fait quelques heures plus tôt avec Nicole, et m'embrassa longuement, juste devant Nicole, en me caressant l'entrejambe.
– Hum… Tu es dur. C'est pour qui que tu bandes, comme ça ?
Je risquai un :
– Pour toi…
– C'est bien.
Guettant la réaction de Nicole, je vis que cela semblait lui plaire, qu'elle n'attendait pas autre réponse de ma part.
Puis Laura se rapprocha une nouvelle fois d'elle et, d'un geste brutal, lui déchira sa jupe, puis lui déchira sa petite culotte, sans ménagement. Nicole poussa un cri. Le tissu lui avait brûlé la
cuisse, laissant une longue marque rouge sur sa peau. Mais cela semblait lui plaire, elle gémissait un peu. Elle se retrouva les fesses et la chatte à l'air sur la chaise froide de la cuisine, les
seins comme jaillissant du chemisier entrouvert. Laura se mit à rire, moqueuse, en tournant autour d'elle.
– Viens, fit-elle tout à coup en se dirigeant vers la porte de la cuisine.
– Où ça ?
– Hé bien dans votre chambre. On va baiser.
– Et elle ? demandai-je en désignant ma femme.
– Elle ?… Devine…
– On la laisse ici. Elle n'aura qu'à nous imaginer. C'est ça ?
– Oui, tu commences à comprendre ! Et plus tard, si elle est sage, elle pourra assister de ses yeux à son humiliation conjugale, à sa honte conjugale. Allez viens !
Mais dès que Laura fut sortie de la cuisine, je m'approchai du dos de Nicole pour la détacher.
– Qu'est-ce que tu fais ? lâcha-t-elle alors.
– Je te détache, voyons.
– Laisse, vas la retrouver, avant qu'elle s'impatiente. Et gifle-moi.
Elle ajouta « ça m'excite » en susurrant. Je lui mis alors une petite gifle, qu'elle jugea beaucoup trop douce, m'en redemanda une autre, une vraie cette fois. Je m'exécutai alors tandis
que Laura m'appelait depuis la chambre. Je redonnai trois gifles à Nicole, qui poussa des cris entre gémissement et plaisir ; et je me rendis dans la chambre ou m'attendait Laura, en laissant
ma femme attachée dans la cuisine, les mains dans le dos, la poitrine tendue en avant et la jupe déchirée.
[
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